Le Pensionnat Haru
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 Dans la 'Salle de jeux'

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Nate River
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Nate River


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MessageSujet: Dans la 'Salle de jeux'   Dans la 'Salle de jeux' Icon_minitimeVen 28 Nov - 12:59

Ce genre de matinées… N’inspirait en général que de la bonne humeur à tout le monde.
Un ciel bleu azur magnifique, resplendissant, infini, sans l’ombre d’un nuage pour venir tout gâcher ; un air frais, pur, agréable et requinquant qui caressait la peau de ceux qui se levaient tôt, des rayons de soleil légers et doux qui réchauffaient lentement la terre, les bâtiments, et les cœurs. Les fleurs s’ouvraient, les arbres brillaient au soleil de reflets dorés et verdoyants, les oiseaux se mettaient à siffloter de jolis refrains plaisants à l’oreille. L’atmosphère entière, sur la ville, appelait à la joie de vivre et elle était emplie de cette ambiance chaleureuse et sympathique d’une de ces belles matinées ensoleillées qui permettaient aux hommes de se dire qu’ils allaient aujourd’hui passer une bonne journée, une journée durant laquelle leurs problèmes leur paraîtraient peut-être moins importants, une journée légère et vide de soucis, une journée, somme toute, calme et paisible.
Qui n’aspirait pas à de telles journées ?

Ce genre de matinées… faisait briller la salle commune du pensionnat Haru comme jamais. La lumière éblouissante mais tendre traversait joyeusement les fenêtres, se reflétait un peu partout, rebondissait, se propageait, et illuminait tout ce qui s’y trouvait, du sol au plafond, des murs aux meubles, du grand piano aux personnes qui traînaient déjà par là.
Parce que oui, certaines personnes étaient assez folles pour ne pas aller profiter des rayons du beau soleil qui brillait, certaines personnes n’en avaient d’ailleurs que faire, du soleil et de ses rayons, rares en Angleterre, et la présence trop envahissante de l’astre principal était même une des causes qui faisaient que ces personnes restaient d’autant plus cloîtrées à l’intérieur.

Ce genre de matinées… Laissait Near indifférent. Il se fichait bien de la météo. Le petit génie albinos n’allait pas changer ses habitudes juste à cause du temps qui s’annonçait magnifique.
Il était sorti de son lit, très tôt, s’était calmement dirigé vers la salle de bain qui était toujours vide à cette heure, s’était débarbouillé, avait enfilé une autre chemise et s’était emparé de son puzzle dans sa chambre afin de descendre s’installer paisiblement au fond de la Common Room (salle des jeux), sur le carrelage frais, afin de commencer une autre journée, comme tant d’autres.
Car au fond, qu’est-ce que le temps pouvait bien changer ? Pourquoi tout le monde avait-il l’air aussi joyeux simplement parce que la terre était chaude et sèche, le ciel bleu, et la lumière aveuglante ? Il faisait simplement plus chaud et cela n’était pas forcément une bonne chose. Tout le monde sait que la chaleur est un facteur important de l’énervement chez l’être humain. Une haute température favorise les disputes, les sautes d’humeur, la perte de son self-control, sans parler de la déshydratation et des coups de soleil.
Les premiers problèmes mentionnés ici étaient d’autant plus dangereux que la plupart des pensionnaires avaient déjà le sang bien assez chaud.

Le petit albinos à la peau pâle et non pigmentée s’était donc assis au fond de la salle, dans un recoin ombragé, pour ne pas subir les assauts du soleil qui pour n’importe qui étaient des dons du ciel mais qui pour lui étaient de véritables agressions qu’il évitait comme la peste.
Evidemment, les journées ensoleillées avaient quand même leurs avantages stratégiques. Peu de monde à l’intérieur, discussions faciles à éviter, tout le monde a bien mieux à faire que d’embêter ceux qui préfèrent rester à l’intérieur, quelques heures de tranquillité sont assurées.
Et il ne pouvait pas nier qu’une journée de ciel bleu, malgré ses défauts, était quand même une journée plus agréable qu’une autre qui serait pluvieuse, orageuse, insupportable.

Vêtu des ses habituels vêtements blancs trop grands pour son petit corps frêle recroquevillé sur lui même, Near posait mécaniquement des pièces de son puzzle immaculé sur le plateau qu’il avait posé devant lui sur le carrelage depuis quelques heures déjà, son regard toujours fixe, vide, et concentré, le soleil l’atteignant presque mais ne parvenant pas à vaincre l’ombre dans laquelle il s’était assis, quand il entendit que quelqu’un avait eu la mauvaise idée de venir se promener dans ses parages.
Des bruits de pas légers mais fermes, irréguliers, trahissant la présence d’une personne féminine ou de jeune garçon. Il était clair au son de ces pas qui résonnaient sur le carrelage blanc de la Common Room que le personnage s’approchait de Near dans son dos, et ce détail n’était pas foncièrement bon à savoir. Le petit génie ne s’arrêta pas de placer ses pièces de puzzles, d’un geste habitué, se préparant à ignorer quiconque aurait décidé que même malgré le soleil, l’activité la plus drôle qui existait était de lui gâcher sa tranquillité. Il s’agissait peut-être d’un adulte, mais ça ne changeait pas grand chose. Que lui voulait la personne qui se tenait debout derrière lui et dont il pouvait voir l’ombre s’étaler devant son puzzle ? A la forme de sa silhouette, il s’agissait d’une fille, ou plutôt d’une jeune femme.
Peu intéressé, il se contenta donc de se re-concentrer sur son puzzle.

Mais il y avait des moments, parfois, où la bonne volonté à rester concentré et à pratiquer l’indifférence était sérieusement mise à mal par des comportements stupides et incompréhensibles d’individus complètement farfelus et ridicules. Mello était l’habituel spécialiste, mais il y avait parfois d’autres énergumènes dans le Pesionnat dont l’attitude laissait sérieusement à désirer, et permettait vraiment de douter de la qualité de génie de la personne à qui l’on avait affaire.

Berry : « AAAAAAAH !!! EXTRATERRESTRE EN VUE !!! >< »


Near étant la seule personne présente dans la grande salle, il n’eut aucun mal à considérer que ce joli compliment lui était tendrement adressé par une charmante demoiselle dont le QI devait atteindre à peu près celui d’une taupe mentalement arriérée. Le cri de la jeune adulte s’était répercuté sur les murs de la pièce et ils résonnaient, comme pour insister lourdement sur chacun des mots et sur le choc que semblait avoir subi la jeune femme en le voyant.
Elle ne put pas voir l’expression blasée qu’il arborait.
Et il semblait qu’elle n’avait pas encore assez entendu sa propre voix.

Berry : « Cet extraterrestre d’une blancheur immaculée…moi qui ai vainement tenté de m’écarter de lui, voilà que lui vient à moiii !! Moi qui voulais passer une après-midi sans une quelconque vision horrifique dans l’esprit pour me saper le moral, voilà qu’un couche-culotte me…hé mais quelle horreur ! »

Pour passer ses nerfs, Near avait lentement levé son index droit et l’avait porté près de son oreille pour y entortiller une petite boucle nacrée, mais la jeune femme à la voix enjouée derrière lui semblait s’être profondément outrée de cette action.
Pourquoi, cela restait un mystère.
Mais le petit génie était surtout en train de se demander pourquoi cette fille parlait toute seule, pourquoi elle parlait toute seule de lui, pourquoi elle n’allait pas voir ailleurs si il y était et pourquoi il ne pouvait jamais être tranquille ?
« Couche-culotte », en voilà un bien charmant terme. La différence d’âge était-elle si importante ? A sa façon de s’exprimer et à l’entente des mots et phrases insolites qu’elle débitait, on pouvait sérieusement en douter.
Juste pour voir qui s’offusquait autant de son existence, il tourna légèrement la tête, et lança un regard sombre en biais à la jeune femme.
Qui était cette fille ? Etait-elle au moins dans le Pensionnat ? Etait-ce une nouvelle stagiaire ou une nouvelle surveillante ? Elle faisait adulte et en même temps son visage dégageait une sorte de candeur innocente, et son style vestimentaire sobre mais élégant montrait qu’apparemment la mode pour elle était assez importante. C’était probablement cela qui la rendait aussi outrée par l’apparence du petit génie immaculé.
Near retourna toute son attention sur son puzzle et posa sa main droite sur son genou relevé.

Aucun intérêt, laissons-la parler toute seule. Ca lui passera. Peu de temps après, cette personne s'en alla. Le petit albinos était encore entrain de faire son puzzle qu'il faisait et recommencer tout le temps. L'albinos entendit de nouveaux des bruits de pas, était-ce cette folle qui l'avait appellée << Couche-culotte >> dix minutes auparavant ? Si c'était bien elle, il avait raison : son cerveau n'est pas plus gros que celui d'une taupe.


[Je vous précise que Berry est de mon invention est que Near est ici depuis un moment sauf qu'on le remarque pas facilement.]
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Heley Hatsuki
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MessageSujet: Re: Dans la 'Salle de jeux'   Dans la 'Salle de jeux' Icon_minitimeVen 28 Nov - 22:05

Il était tôt, amplement tôt, et Heley, n’ayant pas vraiment réussi à trouver sommeil, ce que n’était pas vraiment nouveau, s’était levée brusquement, presque précipitamment. Enfilant des chaussons, bien qu’inutilement puisqu’elle ne se dirigeait qu’en direction de la salle de bain, pour y prendre une douche bien chaude et faire sa toilette, elle ramassa ses vêtements de la soirée antérieure, les déposant ainsi sur son bureau. Cette dernière pénétra, en quelque sorte, dans un petit paradis chaud, même brulant, et en ressorti un petit moment après. Celle-ci sécha sans fin sa chevelure sombre mais devenue brillante, puis, elle passa une ligne noire sous chaque œil, la faisant paraitre plus vivante. Elle pénétra de nouveau dans sa chambre, cette endroit juste à elle où elle trouvait paix, tranquillité et chaleur, et s’accroupi devant son armoire basse. Elle l’ouvrit et y chercha de quoi se vêtir pour la journée. Elle opta finalement, après un long instant de délibération avec elle-même, et enfila un pantalon long, parfaitement conçu pour le bas de son corps. Pour le haut, elle choisit un chandail assez glamour et propre de couleur sombre, mais restant pour le plus simple, et sur lequel quelque ligne brodé finement en blanc.

La journée était trop chaude pour s’évader dehors, le temps trop pesant, la lumière trop éblouissante. Bien que l’après-midi soit magnifique et rempli de couleur si joyeuse, la demoiselle ne voyait pas l’intérêt de partir se promener à l’extérieur. Elle conclut alors qu’elle resterait sagement dans le pensionnat, et qu’elle choisirait une bonne histoire, qui l’occuperait une grande partie de la journée.

Étant pensive, elle prit un bon moment avant de courageusement se rendre en bas. Réfléchissant à bien des choses plus ou moins importantes ou intéressante, tel qu’à sa vie ici ou à ses rencontres, elle s’était étendue sur son lit un petit moment. Les yeux clos et les mains posées sur son bas-ventre, elle était très paisible. Mais la demoiselle sortit bien vite de tout cela et, se levant d’un bon, elle sortit de son antre, et la verrouilla avec un petite clé qu’elle enchaina à son frêle cou.

Marchant dans le couloir désert, Heley fixait du regard toute les portes qu’elle croisait, se remémorant alors leur signification. Aussi, elle observait le son de ses pas, souples et tranquilles. Elle replaça instantanément quelques mèches douces, tombés un peu plus tôt sur son visage aux traits fins et au teint de pêche.

Après tout cela, la jeune demoiselle arriva enfin à cette salle où, jeux et tranquillité étaient réunis. Une salle aux quatre murs plutôt étouffants, mais restant accueillant, peint de crème et d’un bleu poudre, tournant au vert. Elle y avança tranquillement et d’un pas posé puis décida de s’assoir sur un banc inoccupé. Assise à l’écart du reste du monde, n’étant ainsi pas visible pour les autres au premier regard et n’ayant besoin de personne en ce genre de moment, elle était concentrée, les yeux rivés sur les mots qui défilaient rapidement devant elle. Les jambes croisée, elle ne prenait qu’un tout petit espace sur le banc. Légèrement penchée, laissant ainsi dévaler de longues mèches brunes vers le bas, la demoiselle avait perdu tout contacte avec autrui.

De la, tiré de sa concentration, elle pu percevoir des sons bien distants, prononcé pas une demoiselle. Elle lançait des propos stupide et complètement immature de sa part, à elle ne savait trop qui. Elle scruta les environs et aperçu un garçon entièrement immaculé et vêtu de blanc, penché sur un puzzle. Les cheveux de la même blancheur que ses habits, et de petite taille, le jeune homme, avec sang froid, ne réagit même pas.

Elle le reconnu alors. Heley, elle, l’avait bien remarqué. En effet, lors d’une matinée précédente, qui soit dit en passant avait été des plus belles, surpassant même celle d'aujourd'hui, la demoiselle était descendu dans la salle et avait fait comme ce matin, de la lecture... Ne voulant pas restée cloitré dans sa chambre, incapable de se concentré dans quelconque activité nécessitant son mental, puisqu’elle n’entendait que son souffle, ce respire chaud et difficilement prononcé grâce au temps pesant qui la rendait inconfortable, la jeune fille avait été assise ici, au même endroit, et l’avait aperçu…

À la suite de cette phrase mal placé, il semblerait qu’elle n’en ais pas eu encore assez. Paraissant inlassable, elle en avait rajouté. Mais cette fois-ci, Heley trouva qu’elle s’était enfoncée d’avantage.

*Ahhh! Mais qu’elle gamine celle-là…*

Elle reporta alors toute son attention vers l’objet dans ses mains, puis reprit sa concentration de tout à l’heure. Elle ne pu malheureusement voir l’expression ahuri sur le visage de l’idiote enfantine qui se tenait là, dans la même pièce qu’Heley, en réaction au geste de l’étranger qu’elle avait replacé auparavant. Posant son visage sur l’une de ses mains, qui elle était posée sur sa cuisse, elle poursuivit sa lecture où elle en était. Un bon moment avait passé depuis, et Hel avait terminé son roman.

Ayant envi de discuter maintenant et d’avoir un peu de compagnie, elle se leva d’où elle était et se dirigea vers l’inconnu qui la perturbait de par son apparence. Elle chercha du regard l’autre fille, mais ne l’aperçu pas. Reprenant alors ses esprits, elle continua ses pas aisés vers lui, qui d’ailleurs n’eut pas l’obligeance de se retourner. Enfin à côté, elle s’accroupi pour être à sa hauteur et le salua doucement, ne voulant pas ébranlé sa concentration. Mais voyant qu’il ne portait pas aucune attention à elle, elle entreprit de partir et de remonté à sa chambre pour reposer son livre et chercher quoi faire du reste de sa journée.


[Jespère que c'est pas si pire. Mais tu devrais quand même commencer d'autres rp parce que si je te répond autant de ligne, (et avec l'école --') je vais le faire, probablement durant mes fin de semaine. Et si ça cause un quelconque problème, tu n'as qu'à me le dire et je laisserai ma place à quelqu'un d'autre.]
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Nate River
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MessageSujet: Re: Dans la 'Salle de jeux'   Dans la 'Salle de jeux' Icon_minitimeSam 29 Nov - 11:18

Near avait alors senti le souffle chaud de la jeune fille dans sa nuque.Il se mit alors à frémir à ce contact. Il remarqua ensuite que la jeune fille partait. Il avait la tête penchée sur son puzzle et dit quand il l'eut finit.

Near : << Vous voulez quelque chose ? >>

L'albinos ne daigna pas se retourner pour regarder la jolie jeune fille, il préférait faire son super puzzle. Même si il en eut marre, il laissa le puzzle de côté et prit alors plusieurs dés qu'il commenca à empiler les uns sur les autres sans rien dire de plus. Le gamin de 15 ans qui était un génie se fichait éperduement des quelques personnes qui étaient ici,sauf cette jeune fille qui se trouvait derriere lui.

Near : << Je ne vais pas vous manger,vous pouvez me raconter ce qui vous 'tracasse'. >>

Il daigna alors de se retourner et regarda la magnifique jeune femme aux cheveux noirs comme les abîmes et des yeux marrons profonds qui touchèrrent notre albinos préféré. Mais il ne laissait rien paraître,comme toujours. Il continua d'empiler ses dés uns par uns pour faire une forteresse autour de lui. Mais il ne suffit qu'un vent passe et...tout tombe. Tout comme sa froideur : si on se met à avoir de l'affection pour lui, il devient plus gentil avec cette personne.

(petit rp T_T Fichue Kyo qui me distrait)
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Heley Hatsuki
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MessageSujet: Re: Dans la 'Salle de jeux'   Dans la 'Salle de jeux' Icon_minitimeSam 29 Nov - 12:18

Les talons tournés et quelques pas déjà placé, Heley entamait de se dirigé à nouveau vers sa chambre, quand le petit homme en blanc lui adressa quelques paroles lui demandant ce qu’elle pouvait bien vouloir. Se stoppant mais ne se retournant pas, la demoiselle ne put constater que comme elle, il ne la regardait pas.

- Non! Rien en particulier, juste un peu de compagnie.

La jeune fille se retourna alors, ne pouvant toujours pas voir le visage du garçon, et resta debout, n’émettant aucun son et n’entreprit aucun mouvement. La salle était toujours déserte, et elle pu discerner quelques paroles émit par l’inconnu. Lui demandant de lui raconter ce qui la perturbait, celui-ci continuait ses petits jeux tranquillement.

- Oh je t’en pris, tu peux me tutoyer.

Ne voulant pas trop en dire du même coup, elle attendit un peu. Et voyant la cruche de tout à l’heure, elle s’assit à côté du garçon, lançant un regard interrogateur à l’autre fille. Ces deux gestes ont eu pour effet de lui faire comprendre qu’elle devait déguerpir. Et en bout de compte, c’est ce qui se produisit.

Posant son regard sur l’albinos, elle lui fit un sourire. Se penchant pour regarder l’œuvre qu’il construisait depuis un petit moment déjà, elle lui dit :

- J’admire ton sang froid tu sais?

S’arrêtant après cette phrase, trouvant que ce qu’elle voulait dire maintenant ne s’agençait pas à la suite de ses mots antérieurs, elle détourna alors ses prunelles sombres sur les murs de la pièce, et posa ses mains sur ses genoux, se rapetissant ainsi. Reportant son regard sur les blocs empilés, elle ajouta :

- Je t’ai déjà vu ici non? Tu n’es pas nouveau dit-moi?

[J'ai pas le temps de faire mieux aussi, dsl!]
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MessageSujet: Re: Dans la 'Salle de jeux'   Dans la 'Salle de jeux' Icon_minitime

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