Maximilian Siegfried Carlotta Adam Von Elkenkopf

Nom: Von Elkenkopf

Prénom: Maximilian Siegfried Carlotta Adam

Age: 15 ans

Caractère:

« C'est qui cet aristo prétentieux ? »
Mettons-nous d'accord. Vous voulez connaître quel caractère de Mascarade ? Parce qu'il en a plusieurs, tous différents, tous une facette de son vrai caractère. Vous voulez tous les connaître ? Bon, ben bonne nuit.

¤ Le gamin – Max ¤
Mascarade adore se faire passer pour un gamin, c'est si divertissant. Car il peu se faire chouchouter, laisser libre cours à ses faiblesses d'enfant, à sa gourmandise, sa pseudo-timidité. Il joue sur le pathétique avec Maximilian, il rend sa voix plus aigue, plus suppliante. Il peut très rapidement taper sur les nerfs de quelqu'un de non maternel, et parfois ce personnage lui tape lui-même sur les nerfs, parce qu'il a des petites manières horripilantes, une manie de tout vouloir savoir, un petit être capricieux et égoïste. Alors, quand ce rôle lui pèse, le voilà qui change de costume.

¤ Le gentleman – Siegfried ¤
Voici le galant homme, le gentleman, qui séduira la gent féminine d'un baisemain et d'une rose, d'une phrase bien tournée, d'un compliment personnel, dédié à la personne. Voici l'aristocrate peut-être un peu orgueilleux sans être pédant, peut-être un peu pavaneur sans être vantard. C'est celui qui sera prêt à porter secours à toute damoiselle en détresse, et ce rôle même, Mascarade ne le gardera jamais trop longtemps non plus : il est égocentrique, et aider tout le monde lui tape sur les nerfs. Alors Siegfried le gentilhomme deviendra...

¤ Adam ¤
Contemplez dans toute sa splendeur le rôle qu'il prend le plus de plaisir à jouer. Il semble être Siegfried, mais sans l'être. Certes, il est toujours séducteur et charmant, mais ses compliments prennent facilement une tournure ironique, il peut blesser quelqu'un sans y penser ou au contraire en y prenant un malin plaisir. Adam fume – avec un fume-cigarette en argent ouvragé – Adam boit – dans une coupe de cristal hors de prix – Adam couche – dans un lit aux dimensions extravagantes et sans ôter ses gants ni son bandeau. Si le premier homme avait été comme cet Adam-là, ça explique beaucoup de choses, non ?

¤ La jeune prude - Carlotta ¤
Et enfin, son jeu préféré, c'est de se faire passer pour une jeune fille. Oh, un observateur attentif reconnaîtra le jeune homme sous le costume, mais au premier abord, c'est la jeune fille qui prédomine. Elle rougit, elle sourit, elle remercie. C'est un jeu que Mascarade adore, car il peut s'offusquer de paroles qu'il aurait pu lui-même dire, il se joue lui-même à l'envers.

Mascarade joue, joue en permanence, joue des rôles, ne se joue jamais lui-même entièrement, mais toujours en partie. Car Mascarade veut tout savoir, comme Max, car Mascarade adore séduire et complimenter, mais aussi blesser et pécher, comme Siegfried et Adam, car Mascarade est en fait un faible qui se cache, qui se dissimule derrière ses travestissements. Il est tendre et lâche, mais emphatique et intuitif. Il reconnaît les personnes qui font comme lui, qui se construisent une personnalité, et pourtant, il n'est pas autocritique. Pour lui, il n'est absolument pas ce qu'il est, pour lui, il n'est qu'un bloc de glace qu'on peut sculpter à loisir. Il ne se voit pas objectivement, il ne se connaît pas.

Histoire: Le rideau se lève.
Sur scène, un jeune garçon de douze ans, vêtu d'un redingote, joue un nazi haut placé qui dîne avec sa femme, jouée par une petite fille de 10 ans. Un troisième protagoniste, censément le fils de deux premiers, arrive, et de manière surprenante, semble réellement plus jeune qu'eux.
« Père, père, j'ai fini mes devoirs! » annonce l'enfant avec fierté, et présente un cahier couvert d'une écriture fine et sage au « père » qui s'en saisit, observe le cahier, et annonce en frottant vigoureusement la tête du fiston :
« C'est bien, tu seras comme moi quand tu seras grand. » imitant le réel père, qui observe la pièce avec un ennui profond.
« Maintenant, va te laver les mains et mets-toi à table avec nous. » ordonne l'acteur. L '« enfant » disparaît dans les coulisses, et les deux « parents » continuent à dîner en silence, sans se regarder.
« Mère, mère, c'est quoi ça ? » s'écrie l'enfant en entrant dans la salle à manger en courant. La « mère » voit le passeport que tient l'enfant et pâlit, d'une manière si réelle, qu'on penserait qu'elle va se trouver mal. Mais elle n'est qu'une bonne actrice.
Le « père » se saisit du passeport et l'ouvre, surpris et soudainement inquisiteur. Ses yeux s'agrandissent, il se lève brusquement, sa chaise tombe avec fracas.
« Quoi, ma femme est une juive ? Ma femme s'appelle Judith Rosenthal, ma femme m'a toujours caché ses origines ? »
Et l'homme sort un revolver de sa redingote et tire sur sa « femme » sur la poitrine de laquelle perle une fleur de sang, et qui s'écroule .
« Père, père, qu'avez-vous fait ? » s'écrie « l'enfant », affolé. Sans répondre, le regard fou, le « père », tire sur son « fils » qui s'écroule aussi.
Le rideau tombe.

Andrea a les yeux écarquillés, ses mains plaquées sur sa bouche, horrifiée. Adrian applaudit et félicite les enfants qui viennent saluer.
« Bravo, bravo, cette histoire est excellente, même si l'homme aurait du tuer de sang-froid une chienne pareille. »
Andrea s'évanouit d'horreur. Elle comprend son erreur.

« Andrea, Andrea, ça va ? »
L'actrice ouvre les yeux et sa première vision est son époux, son époux. Elle s'évanouit à nouveau.
Finalement, elle se réveille et se redresse, elle ne peut plus fuir et elle ne peut plus vivre avec son secret. Il faudra qu'elle lui dise. Mais d'abord, il faut protéger ses enfants, ses chers enfants. Elle ne veut pas qu'ils finissent comme dans la pièce de théâtre, oh non! Alors elle contacte sa famille éloignée, leur demande s'ils peuvent recueillir ses enfants si elle leur donne de l'argent avec. On accepte. Alors vite vite, elle prend les jumelles, mais son fils est invisible. Il n'y a plus de temps à perdre, il saura se sauver tout seul, non ? Alors vite vite, elle envoie les jumelles à l'aéroport, elle les envoie aux Etats-Unis.
Et elle rentre, elle va au bureau de son époux. Tout ça n'a duré que 2 heures depuis son malaise.

« Chéri, je dois vous dire quelque chose. »
Il repose son cigare, lève un sourcil, inquiet.
« Andrea, vous allez mieux depuis votre malaise ?
- Oui, ce n'est pas ça. C'est que... je m'appelle Esther Levi de mon vrai nom. »
Elle ferme les yeux, elle regrette, mais elle aime toujours son époux, le mensonge aurait été intolérable en sachant qu'il la hait. Elle regrette aussi ne pas être comme la princesse Esther qui réussit à sauver son peuple en révélant son identité au roi son époux. Car le roi n'avait pas de haine particulière contre le peuple hébreu et l'aimait plus que tout. Mais Adrian, lui, aime l'argent plus que tout, et non sa femme, et hait les juifs plus que tout. Alors elle l'entend ouvrir le tiroir de son bureau, elle entend le « clic » du revolver. Elle n'entend plus rien.

Un second coup de feu.

Minuit sonne.

« Père, Mère ? »
L'enfant frappe à la porte du bureau de son père, inquiet. Il était dans le grenier, sa cachette préférée, en train de lire un livre sur les travestissements chez Shakespeare. Il a entendu les coups de feu.
Pas de réponse.
Il ouvre la porte.
Horreur.

Horreur.

Horreur.

Sur le tapis, le magnifique tapis dont Adrian Von Elkenkopf était si fier, gît Andrea Von Elkenkopf, une fleur de sang pile entre ses deux seins, tachant sa robe de soie blanche, tachant le magnifique tapis, les yeux fermés.

Horreur.

Horreur.

Horreur.

Sur le fauteuil devant le bureau, le magnifique fauteuil en cuir bordeaux qui avait coûté si cher et qu'Andrea avait offert à son mari pour ses cinquante ans, est assis Adrian Von Elkenkopf, les yeux fixes.

« Père ? »

Pas de réponse.

L'enfant avise la main crispée sur la crosse du revolver, posée dans une position bizarre sur le bureau. Terrifié Maximilian entre dans la chambre, marche le long du tapis, sans s'approcher du cadavre de sa mère, s'arrête à côté de son père, si immobile, le contourne, le touche. Il est tiède, presque froid. Max lève les yeux et voit, voit la cervelle et le sang qui gouttent par la tempe, par le petit trou fait par la balle. Maximilian hurle. Mais le manoir dort à cette heure-ci, les domestiques dorment. Alors Maximilian s'écroule lentement à côté du bureau et se met à pleurer, prostré. Au bout d'un moment ses larmes se tarissent et il regarde lui aussi dans le vide, sans rien voir, comme son père. Et il reste comme ça pendant des secondes, des minutes, des heures.

Finalement la porte s'ouvre, une bonne entre faire le ménage. Elle aussi hurle, part à la recherche de secours, appelle la police, l'ambulance.

« Maximilian, ça va ? »
Pas de réponse.

« Il doit être sous le choc. Pas étonnant, après ce qu'il a vu. C'est quand même atroce, tuer sa femme comme ça, puis se suicider. Pourquoi ? »
Il est peut-être sous le choc, mais il n'est pas sourd. Ce n'était pas la peine d'appuyer sur la blessure grande ouverte, de remuer le couteau dans la plaie. Des larmes silencieuses commencent à couler sur ses joues. Pendant ses longues heures d'état de choc, il a compris, il a compris.

« Mère était juive. Père était nazi. »
Il l'a à peine murmuré, mais on l'a entendu. Heureusement. Il aurait été incapable de se répéter. Incapable.

Septembre.
Octobre.

« Nous ne pouvons pas le garder plus longtemps, son mutisme est dangereux pour nos enfants. Ils ont peur de lui. »
Tante et Oncle ont peur de lui.

Novembre.
Décembre.

« Il a régressé, il semble avoir 7 ans, pas presque 13. Il faut le remettre dans une famille d'accueil, l'orphelinat ne lui va pas. »
Il en a marre de l'orphelinat à vrai dire, cet orphelinat de bouseux. Il s'enfuit avant qu'on le remette dans une famille d'accueil. Il a encore sa carte de crédit avec le compte secret que lui avait ouvert son père pour son 12e anniversaire.

Voilà Carlotta, serveuse dans un café de Vienne, jeune prude vêtue à la manière victorienne.

Janvier.
Février.

« Désolé Carlotta, mais maintenant que je sais que tu n'as que 13 ans, je ne peux pas te garder. »
Il est amené à la police, mis en famille d'accueil pour un mois, un mois d'horreur. Il teste d'autres personnalités sur sa soeur d'adoption. Il teste Siegfried, il teste Maximilian, il teste Adam. Elle se suicide.

7 mars 2002
« Bienvenue. Tu seras Mascarade. »
Soit. Ce nom lui convient, lui va même comme un gant.

J'adore! xD Je suis partie d'une crise de fou rire a une crise de larmes! xD
Mouerf mouerf, bienvenue ;P et bonne continuation pour ta fiche Mimi ^^

Mascarade : Je préfèrerais Mama.
Max : Moi, Ma ... Ma ... Max ou Maxi'
Siegfried : Sieg'
Carlotta : C'est Carlotta pour toi.
Adam : Y a un surnom pour moi ?
Mascarade : TAISEZ-VOUS ! è_é Et fiche finie.

Elève Nombre de messages : 51 Age : 30 Date d'inscription : 14/03/2009

Bienvenue. Un fan de Kuroshitsuji ? Trow cooool *-*

T'as pas Sebastian avec toi ? Very Happy

Mascarade : Je te suspecte de connaître Kuroshitsuji. Que c'est jouissif que quelqu'un aime ce manga si .. peu connu.
Carlotta : Moi je craque sur l'ava.
Les garçons : LA FERME !
Carlotta : Ca va, Ca va ..

Ok ^^ parcontres, tu racontes pas comment il arrive au Pensionnat Haru... =/
J'aime bien Mimi =P Validé... Je te mets chez les mecs ou les filles? x) Je lol t' inquiètes ^^ (chez les fiiiilles xD)
On parle pas aux filles comme ça les mecs, faites gaffes! u_u

Mascarade : Je préfèrerais être chez les garçons. Carlotta chez les filles, mais étant un jeu pour moi, je préfère être un garçon.

PARFAIT!!!! Je t'aime déja! J'adore ta fiche! Dommage que le soir soit réprimendé pour moi car j'aurais été ravie de voir ça de plus pres. J'aime ta façon d'écrire même si ton personnage et quelque peu extravagant ce qui va plaire à Yua. Drole de gouts mais assez compréhensifs. Tu as trouvé une façon originale de traiter le sujet "caractere" qui n'en ai pas le moins difficile. Les différentes parties d'un caractere sont déduites par des noms qu'il à lui même employé" pour s'amuser ou juste pour pouvoir s'y retrouver. J'aime beaucoup. L'histoire est assez compliquée dans l'ensemble mais ici, on adore ça. On te dira bien souvent que ta fiche est parfaite, rien à redire, même pas des fautes. Pourtant qui sait comme j'adore réprimender quelqu'un car il fait des fautes. M'enfin, l'exemple à suivre n'est surement pas moi.
Bienvenue à toi.
Amicalement.
Lily. ( bon daccord, pas du surnom en fin de commentaire.)
Amicalement.
Lilianna ( --" )

Yua, ton commentaire me fait bien rire! xD Ce n'est pas contre toi lol t'inquiètes pas =)
Moi, je trouve ce personnage "prétencieux" x) xD

Non,non, t'en fais pas, je n'en doute pas. Et si ça avait été le cas, je pense que j'aurais voulut regarder ce qui est contre moi dans mes paroles. Prétencieux est le mot juste. ^^. ( Ah! Pitié! Plus jamais je ne m'abesserai à me nommer Lilianna. Je déteste ce prénom. Lily,c'est parfait! ^^)

Aurais-je donc une fan ? Mascarade en serait ravi. J'espère pouvoir rp avec toi le plus rapidement possible. En tout cas, ca me fait plaisir qu'on me dise ca, toutes ces heures à tapper cette présentation n'est pas vain.

Heures? ça me change de mes 10 minutes. Enfin oui, pourquoi pas, Yua trouverait-elle plus méchant et arogant qu'elle? ^^ ce serait surement marant.

U_U' Il y en a un qui va se faire baffer.
Plus méchant et arrogant que Yua, It's possible? XD Bah, Nick va devenir pire que ça, je vais m' amuser ^^

^^ on va tous s'amuser ^^ Il est marant par certains temps de devenir méchant arogant , superficiel ou vaniteux, c'est tout à fait dans nos gênes de vouloir être le plus demandé car on est le plus vulnérable.
Bon, j'arrête de flooder.

Oula, tu as été concut pour Yua? Même Lily t'adore! ^^ Bienvenue à toi ( fais attention à la sorciere! Elle est très belle de jour mais abominable de nuit! )

Ca suffit Lina! Bienvenue à toi et amuse toi bien ( de la concurence à Sokuu? ^^ non, il ne battra jamais Sokuu en rateaux ^^ ]

Bienvenue Mascarade ^^
Waoo elle est super ta fiche =D

Vaut mieux tard que jamais non?
Bref, bienvenue! =)