Arrivée d'un adorateur de déguisement (Libre)

When I gone for a new world, the world now were dead.

Un jeune garçon habillé d'une façon assez étrange venait d'avancer vers le Hall du Pensionnat Haru. Celui-ci semblait être habillé à la façon d'un aristocrate anglais. Il portait aussi un bandeau à l'oeil droit pour cacher son oeil 'étrange'. Mais bon, le jeune homme continua de marcher jusqu'à arriver à la porte. Le jeune homme avait un prénom si long qu'il était dur de prononcer son nom. On l'appellait Mascarade. Litteralement, c'est une fête pour personnes déguisées. D'ailleurs, ce nom lui allait comme un gant. Mascarade traversa alors le Hall. Il semblait avoir un petit sourire. C'est alors qu'il essaya de se faire sentir plutôt enjoué et insouciant pour pas qu'on comprenne son véritable "stratagème" et oui, Mascarade venait de se "transformer" en Max, l'éternel enfant. Il regarda alors les personnes autour de lui. Une jeune fille de 14-15 ans, deux garçons : un qui doit avoir 16 ans et l'autre son âge. Le petit garçon s'avanca dangereusement des gens. Le garçon de 16 ans appella une bande de garçon de son âge et se mirent à terroriser Max. Oui ... Max le couchouté était en proie de cette bande d'idiots. Dommage que Mascarade ne soit pas lui-même, Adam ou Siegfried, ils seraient par terre. Il se laissa en réalité se faire tapper, et attendit que quelqu'un vienne le "sauver".

( Changement, désolé, j'ai des envies de changement, c'était pas terrible ce que j'ai écrit, je peut faire mieu, allez lily! Lily? =) )

" Human "

Saya leva les yeux, une personne la regardait. En même temps, qui ne la regarderait pas. Les yeux noirs, presque éttoufés dans du mascara qui avait coulé. Stupidité. Et pour se consoler d'une chose, elle était allée dans le hall chantant tout ce qui lui passait pas la tête et Human était aparue comme ça car les paroles sont vraies mais incomprises. Stupidité.
La personne lui tendit un mouchoir en lui fesant la grimace. Bien. C'est clair. Elle doit vraiment faire pitié. Elle le posa sur le haut de sa guitare tachée de larme elle aussi et la carressa à l'aide du mouchoir. Cet instrument comptait encore plus que sa propre honte. Elle enleva le mouchoir noir et utilisa les derniers morceaux encore de couleur pour le dessous de ses yeux fatigués et las de pleurer pour rien. Si, elle pleure pour une vie perdue. Elle avait tout, elle n'a plus rien.
La personne lui sourrie et partie d'un pas assez appeuré, comme si Saya allait le ratrapper par derriere et l'étrangler avec le mouchoire, qu'on se le dise, dégeulasse. Cette pensée fit sourire Saya et puis la chasse en secouant la tête.
Elle se leva et fut attirée par une forte concentration de personnes autour de deux garçons en train d'en frapper un autre? Saya souffla. Un fille courrue la bas en criant de s'arrêter mais ils l'éjecterent en la fesant tomber par terre. En même temps, la fille, pas vraiment cool, plus une premiere de classe, habillée par ses parents avec des pas très ... petite maison dans la prairie. Dans sa tête, Saya pensa qu'elle avait ce qu'elle devait avoir, apres tout, elle a une tête à claque et défendre une personne ne l'arrange pas. Bon Saint Bernard!
Saya decida de s'approcher sans trop venir comme ferait une mouche sur ... non rien. Elle regarda de loin et crut appercevoir le garçon qui se fesait frapper n'oposant aucune résistance. Saya leva d'abord les yeux au ciel. N'importe quoi. Et puis finelement, elle mit sa guitare le long de son dos accroché par une bandouliere et s'avanca de plu s pres poussant tout le monde? On entendait des "hé!", " t'es conne ou quoi? " " mais tire toi sorciere!" ce qui fesait bien rire Saya. Ouuuu, elle va aller sur son balet leur jeter des sorts. Est-elle toujours le plus belle? mirroir, Mirroir!
Elle se retourva bientôt devant, regarda les deux garçons frapper l'autre. Ces deux la étaient encore plus motivés que les autres rigolaient ou poussait des oh, ah, emerveillement! . Un garçon même sortit de la foule en chantant cette mélodie à la mode ( vous vous doutez bien de laquelle c'est ). Saya le fusilla du regard et voyant que personne ne le suivait, il rougit et repartit en marmonant dans sa barbe. Saya regarda un moment ce que fesaient les deux garçons à l'autre. Pourtant, celui au milieu se laissait faire, aucun signe de résistance, pas une envie de partir. Et vas y que je te frappe mon frere! D'autres criaient des injuries pour qu'il se défende car bientôt, il n'aurait plus l'âme de quelqu'un de vivant. C'est la que Saya voulut intervenir. Au moment ou les autres se lasserent et commencerent à partir.
Saya mit ses mains dans ses poches. Les deux garçons se focalisaient sur son regard? Ils avaient un sourire niet qui disait bien " tu en veux plus, hein?" ce qui dégoutait au plus haut point Saya. Ils frappaient de plus en plus fort, à croire que c'était un plaisir.

- Mais en fait, il t'as fait quoi ce pauvre garçon? Bon, il se laisse un peu faire alors je trouve que ce n'est pas équitable, trouve quelqu'un qui se défend à tabasser car comme tu peut le voir, c'est pas marant la, ya pas d'action! Bon, je vous dit pas non plus d'aller frapper quelqu'un d'autre mais au cas ou vous trouvez celui qui veut me donner des cours de physique avec une tête à claque, passez lui le message, il se défendra lui, il y aura beaucoup de monde car il vous dira des trucs insensés que seul un fayot peut dire alors laisse ce pauvre garçon.

Ils n'écouterent pas mais se calmerent sur les coups et voyant qu'il n'y avait plus personne, ils se regarderent et arrêterent de frapper. Ils s'en allerent fiers comme si c'est eux qui en avait eu la logique. Saya leva les yeux au ciel puis regarda le garçon au sol.

- Ca va faire un beau bleu tout ça. Met de l'arnica.

Saya avait toujours le mot pour tout gâcher, elle dit ça d'un tont ironique qui pouvait agacer.