Non je ne dort pas! è.é [Hibari-sama]

Je suis si fatigué. Assise sur le banc du parc, les yeux à demi clos . . . NON! Il ne faut pas que je dorme, c'est hors de question. Ces recherches m'épuise, ça me tracasse, je n'en dort plus la nuit. Je ne pense qu'à ça, à lui, à son visage. Cet expression, puis tout ce sang et se corps à terre, le Corp de maman.
Je suis désolé maman, je t'avait promis de te protéger et je n'ai rien pus faire, si tu savais à qu'elle point je m'en veux, mais maintenant toi tu est au paradis et moi je suis toujours ici mais seule. Je ne le montre pas mais cette solitude est dérangeante, pourtant je ne fait rien pour m'en sortir. Je fais croire que je n'ai besoin de personne à part de moi même.
Mais c'est faut et toi tu le sais bien, j'ai toujours voulu avoir des amis mais jamais rien ne se passe comme je veux et puis maintenant c'est trop tard. Puis il ne faut pas que je m'attache, pas maintenant, puisque je vais bientôt mourir, dés que j'aurais retrouvé ce salopard.
Si seulement tu m'avais laissé au moins son nom. Mais non ,il faut toujours que je m'en sorte par mes propres moyens, après tout c'est comme ça que tu m'a éduqué, je suis épuisé. Épuisé de tous, de ma vie, de cette vengeance, de ses gens trop curieux, de ma propre stupidité et de ma solitude. Non il ne faut pas que je me laisse gagner par mes sentiments, puis d'abord je n'ai pas de sentiments, ou du moins je ne doit pas en avoir ça me compliquerai la tâche.
Maman, s'il te plaît, donne moi un peu de courage de la ou tu es, fait en sorte que tous s'arrange pour en finir vite, puis personne ne me regrettera. Je regrette seulement le fait que je ne pourrais pas te retrouver, avec tous le méfait que j'ai accomplis moi je n'irais pas au paradis.
Tu me manque tellement, j'aimerais entendre ta douce voix avant de m'endormir, comme tu me chante ton habituel berceuse, que tu me prenne dans tes bras et que tu m'embrasse.
Mes yeux se font lourd, finalement peut-être que je vais mourir avant de le retrouver je ne doit pas dormir, pas le jour, je dois profiter de chaque instant pour essayer de le retrouver et ne pas laisser la fatigue m'emporter.
Mais je crois que . . . c'est . . . trop tard.

C'est alors qu'elle allait s'endormir, elle put apercevoir un jeune homme qui portait un costard violet. Ses cheveux voletaient dans le ciel et possédait un visage inexpressif, comme si il était l'être de l'union de Dieu et de Satan. Mêlant pureté et méchanceté, un être sans âme et sans sentiments. L'homme parfait. Le jeune homme possédait un beau corps tel Dieu mais des cheveux et des yeux noirs tel Satan. On pouvait se demander comment il faisait pour être ainsi. Serait-il un messager de Dieu ou de Satan ? Non, ca n'existe pas. Enfin, comment pouvons-nous savoir alors que nous n'avons ni accès aux Enfers, ni au Paradis ? Bref, le jeune homme vit la jeune femme qui était dans le parc et décida de s'asseoir près d'elle. Oui, elle semblait avoir envie de dormir. Il posa la tête de celle-ci sur ses jambes et ne bougea pas et se mit à regarder le ciel comme si de rien n'était. Pourquoi faisait-il ca ? Qui sait ... Peut-être avait-il descellé quelque chose qui émanait d'elle ? Ou bien le fait qu'elle porte deux katanas le troublait ? Le jeune homme qui répondait au nom d'Hibari Kyoya n'en savait rien.

Il ne fallait pas que je dorme et pourtant mon sommeil fût plus fort que ma volonté. Seulement contrairement à mon sommeil habituellement agité, je dormis bien.
Peut être que le jour me faisait moins peur que la nuit. La nuit porte conseil, mais à moi elle me porte cauchemars. Non ça se dit pas c'est vrai, mais bon je n'ai jamais dormis aussi bien depuis que maman est morte.
Je ne regrette pas de mettre endormi finalement. C'est vrai que dormir comme ça dehors c'est m'exposer au danger, mais après tout qui ça dérange que je meurt, moi ça m'arrange. Non, je ne dois pas laisser ce mec briser d'autres familles.
Grrr, je déteste les hommes, tous les même. Non, je me ment à moi même, je ne déteste pas les garçons, j'en ai peur. Mais ne croyez pas que je vais le dire à voix haute, je ne doit avoir peur de rien, c'est pour ça que je répond par la violence et la haine. Je sais que ce n'est pas la solution, mais je suis comme ça.
Je dors tellement bien que même quand je sens cette présence près de moi. C'est inhabituel chez moi, mais c'est comme ça. Je sens un autre truc qui cette fois si me réveille, je croix que je vais exploser. Je me suis endormie assise et je me réveille allongé.
C'est quoi ce bordel? En plus je suis allongé sur les jambes de quelqu'un?! C'est vrai que j'aimerais y rester puis sympathiser avec la personne, mais je peu pas et en plus . . . Si c'était un garçon? Oh non merde. Je vais le butter.
Je me relève en colère, les sourcils froncé. Je me met face à lui, je le domine de toute ma taille et l'attrape sauvagement par le colle de son haut.
Je pose ma main sur ma hanche pour dégainer un de mes katana . . . Merde c'est pas possible! Je regarde l'autre . . . Non plus, il y à seulement les fourreau mais ils sont vide! C'est pas normal, je ne les aient toujours avec moi habituellement . Merde, je suis mal!
Je le lâche et m'éloigne vivement de lui, peut être est il armé. Heureusement que j'ai aussi appris à me battre à main nue, mais si il à une arme à feu je suis fichu, comme je déteste les armes à feu, autant que les garçon. Je me met donc en garde prête au combat. Mais pourquoi je tremble, est ce le fait de me retrouver seule et désarmé face à un homme, comme se jour là? Il faut que je me calme, mais c'est plus facil à dire qu'à faire. Pour me donner de la contenance je tonne:

-Qui est tu? Et que me veux tu?

Le jeune homme sentit ensuite que la jeune fille se réveillait et eut un petit sourire au coin des lèvres très facile à voir. Il pencha un peu la tête pour regarder la jeune fille puis se leva. Elle semblait être sur ses arrières. L'homme en costard posa sa main sur l'épaule droite de la jeune fille et dit d'un ton calme.

- Sans arme tu ne pourras jamais battre quelqu'un comme moi. Il y a une trop grosse différence de force.

Hibari se tut et on put voir qu'il observait les nuages et leva sa main droite vers le ciel pour apercevoir sa bague sous l'éclat des rayons de lumière. Il entendit alors la jeune fille lui poser des questions. Hibari eut un sourire aux lèvres et se mit alors à lui répondre.

- Hibari Kyoya, ex-Chef du Comité de discipline de Namimori High School. Tu avais sommeil, je n'allais pas te laisser dormir assise droite comme une lance.

Hibari arrêta de la regarder pour observer les nuages qui voletaient dans le ciel. Il sortit ensuite ses deux tonfas d'acier et se mit en position de combat.

- Mais si tu veux te barre, je n'aurais d'autre choix que de te mordre jusqu'à la mort.

Et voila j'avais une fois de plus commis une erreur, je m'étais endormi sans armes et sans défence sur un banc d'un parc publique, qu'elle idée. Ce garçon brun face a moi, désarmée et tramblante. Merde... j'étais dans la merde!
Mais je trouvais quand même le moyen de me rebéler. Son sourir au coin de ses lèvres m'énnervait au plus au point. Ce type devait être lui aussi un sale pervers.
Plongée dans mes pensée, je ne le vit pas s'approcher de moi et quand il posa sa main sur mon épaule je sursauta et fit ensuite un bond en arriere. Putain c'est quoi ca? Ce mec est vraiment bizzare, il arrive a créer chez moi un tel sentiment de crainte... j'en ai des frissons.
Le brun me dis que contre lui et sans armes je n'aurais aucune chance. Je le crus sur parole mais fit mon possible pour ne pas le lui montrer. Je laissa le silence s'instaler l'observant, le moindre de ses genstes, des ses mouvements.
Quand il leva la main vers le ciel, je fit inconsiament un mouvement de recule. Merde jespere qu'il ne s'en ai pas apperçu, ce serai la total... Mais il se contenta de se présenter a moi.... en détaille. Je répondit donc:

-Je ne t'ai pas demander de me raconter ta vie, puis j'y comprend rien a ton charabia et je ne t'ai jamais demander de me rendre service, je n'ai besoin de personne et encore moins de toi! Je te déconseille de m'approcher encore sinon... gar a toi!

J'espérai que mes menaces allait l'empécher de faire quoi que ce soit, même si moi même je n'en étais pas très convaincue. Mais apparement non car suite a ca il sortit deux armes et me menaca a son tour. Merde comment allai-je m'en sortir cette fois...

-Tes menaces ne m'atteigne pas, j'ai déjà vue plus fort que toi!

Hibari la regarda de haut. Oui, il aimait être plus haut que les autres, montrer sa supériorité et sa force. Il regarda de nouveau sa bague où on pouvait remarquer un nuage. C'est alors que Kyoya se mit à chuchoter doucement.

- Le nuage qui va où bon lui semble et que l'on ne peut attraper, hein ?

Il semblait se parler à lui-même. Il serra un peu plus fort ses deux tonfas et finit par se retourner pour voir une bande de voyous qui étaient arrivés. Ils étaient bien plus grand et bien plus fort que Kyoya et Ondine ... En apparence. Hibari était alors avec sa veste et regarda les jeunes hommes qui voulaient enfaites, embêter la jeune fille pour lui toucher la petite culotte ou quelque chose du genre. Hibari se mit entre eux et les regarda de ses yeux en amande.

- Dégagez de mon chemin ou je vous battrais à mort.

Mais trop tard, un premier se jeta sur Hibari avec un couteau. Hibari frappa un premier coup sur la lame avec son tonfas d'acier pour dévier la lame et finit par le frapper violemment au ventre avec l'autre. Vu son corps, Hibari semblait être un gringalet en face de son adversaire. Pourtant, son adversaire tomba par terre, comme si un monstre de 200 tonnes l'avait frappé. Il donna un coup dans le vide et le bas pour enlever le temps de ses tonfas d'acier. Il vit ensuite deux des garçons le frapper violemment, mais Hibari sembla ne pas s'énerver et rester tout aussi calme. Le jeune homme frappa de nouveau violemment les deux personnes et finit par ranger ses deux tonfas. On vit ensuite une mare d'eau. Il attrapa un des corps et le jeta dans l'eau. Puis le deuxième, puis le troisième. C'est sa manière de "se débarrasser des corps". Hibari regarda ensuite la jeune fille et mit son poing vers elle pour lui montrer sa bague.

- Tant que je porterais cette bague, nul ne pourra me vaincre.

Il alla ensuite s'asseoir sur le banc et regarda les nuages dans le ciel.

Je restais toujours en garde et tremblante devant l'inconnu. Mes yeux rouge fixé sur lui. Il ne bougé pas et ne semblait pas impressionné. Je devais surtout lui faire pitier. Une fille maigrichonne et désarmé. Mais même comme ca je savais bien me défendre et j'allais le lui prouver. Puis le brun se mit a me regarder de haut et ma haine croissa de nouveau ainsi que ma crainte. Chez moi c'est deux sentiments vont toujours ensemble. Puis le dénnomé Hibari ouvrit la bouche et sorti une nouvelle phrase incompréhensible. Etait ce lui le fou ou moi la retardé mentale? Ou alors étais-je encore dans un demi-sommeil et tout ceci n'était qu'un mauvais rêve? Non je ne pense pas, c'est bien trop réel.
Tout mes sens étaient dirigé vers lui. Il était le centre de mon attention je ne le quittais pas des yeux. Je le fixai si intensément qu'il aurait pus fondre. Ma haine était tellement grande que je ne remarqua pas le petit groupe qui s'approchait de moi dans mon dos. Mais lui semblait les avoir remarqué. Interceptant son regard qui fixait un point derriere moi, je me retourna pour faire face au groupe mais Hibari c'était déjà interposé entre nous. Mais que lui passait'il par la tête? Pourquoi me défendait-il? Le brun semblait en colere et menaca la bande de voyous.
C'est la que le combat commenca entre le maigrichon et les molosse. Mais Hibari-sama mené largement le duel... Sama?! Mais je vais pas bien moi. En tout cas il le massacra un par un et balanca leurs corps a l'eau. Mon visage afficha de la reconnaissance durant quelques seconde mais mon masque de colere revint aussitot. Pendant qu'il balancé les corps a l'eau je répliqua:

-Je n'avais pas besoin de ton aide, j'ai l'habitude de ce genre de situation et je sais me défendre. La prochaine fois mêle toi de tes affaires! Tu m'as compr...

Ce qui était véridique en plus. Mais avant que je puisse finir ma phrase je vis un homme qui se tenait à l'écart s'approcher de Hibari dans son dos pendant qu'il balacé les autres corps a l'eau. Vive comme l'éclaire je m'approcha et donné une claque dans le cou de l'homme a l'endroit le plus sensible. Le gayard s'effondra sur le coup. Un sourir satisfait aux lèvres je laissa un brun le soin de s'en débarasser.
Quand ce fut fait il me présenta son oing horné de sa bague m'expliquant que c'était d'elle dont il tirait sa force... du moins c'est ce que je compris. Suite a ca Hibari alla s'assoire sur un banc et leva les yeux au ciel. Je le suivit... enfin mes pieds le suivirent moi j'étais pas trop pour. Arrivée devant lui je posa un genoux a terre et inclina la tête. Mes levres articulairent:

-Je ne suis pas dépourvue de tout honeur. J'ai une dette envers toi et je te servirai jusqu'a ce qu'elle soit réglée. Et même si tu reffuse je te suivrais ou que tu aille.

Merde mais qu'est ce qui m'arrive?!

Hibari remarqua alors le gars qui lui avait échappé et que Ondine frappa et le mit hors de défense. Il alla donc voir le gars qu’Ondine avait mis à terre. Il l’attrapa alors et le traîna sur une longue distance pour le jeter à l’eau. Par la suite il vit que Ondine se mit à genoux devant lui, le jeune homme la regarda vraiment de haut et allait lui répondre mais il s’arrêta car elle n’avait pas fini. Alors comme ca, elle le suivrait qu’il le veuille ou non ? Et puis quoi encore ? L’homme regarda alors Hibird voler au-dessus de lui avant de se poser sur son crâne. Hibari se mit alors à réfléchir, devait-il laisser celle-ci comme sorte de « garde du corps » ou pas ? C’est alors qu’Hibari eut un petit sourire et enleva le haut de son costard ainsi que sa cravate, laissant Ondine voir son torse, mais surtout sur sa poitrine droite le chiffre « 18 ». Le jeune homme laissa ensuite Hibird s’envoler et reprit avec un sourire en coin.

- Si tu arrives à me frapper là où se trouve le chiffre « 18 », tu pourras être mon garde du corps. Cependant, si jamais tu ne réussis pas … Je te battrais à mort.

Hibari sortit alors ses tonfas d’acier et se mit en position pour se battre contre elle. Après tout il fallait bien qu’il la teste, qu’elle soit forte et non faible. Bien que ce qu’il avait vu pouvait lui faire croire qu’elle était forte, il ne faut pas se fier aux apparences. Surtout qu’Hibari, bien petit est extrêmement fort à l’image d’un de ses anciens maîtres, Ma Kensei, un maître des arts martiaux chinois. Celui-ci lui a appris sa souplesse et sa rapidité hors normes. Hibari regarda alors la jeune fille et reprit.

- On gagne une bataille en connaissant le rythme de l'ennemi, et en utilisant un rythme auquel il ne s'attendait pas. Souviens-toi de cette phrase

Hibari garda sa forme de combat quelque peu spéciale avec ses tonfas mais se dit que, vu qu’elle n’avait pas d’armes, ce serait de la triche. Il jeta alors sur le côté ces deux tonfas d’acier et se mit en position de Jiu-Jitsu et se prépara pour le combat contre Ondine.

Je resta à terre un poing sur le sol et le regard baissé. Maman je crois que je deviens vraiment folle ... Mais je vais prendre ceci comme un entrainement pour ne plus craindre les hommes! Oui je venais enfin de vraiment me mettre cette vérité en face, depuis ce jour fatidique les hommes me font peur. Est-ce pour cela que je n'ai aucune pitié envers la gente masculine? Aucune peine à les tuer?Je ne leva toujours pas mes yeux vers l'homme brun mais sentait qu'il ne me regardait pas. J'entendit un petit oiseau voler et chanter une chanson étrange. Puis Kyoya réagit enfin.
Il s'écarta de moi et je releva la tête vers lui pour le regarder faire. Le jeune brun avait un petit sourire sadique identique au miens quand je m'apprête à tuer quelqu'un. Il se déshabilla alors ôtant son haut et sa cravate. Je le regarda tout d'abord choquer puis je frissonna sentant mon corps se remplir de haine et de répulsion. Je ne remarqua même pas le chiffre sur son torse et le fixait si froidement qu'il aurait pu fondre. C'est quand il prit la parole que le petit oiseau s'envola de sa tête:

- Si tu arrives à me frapper là où se trouve le chiffre « 18 », tu pourras être mon garde du corps. Cependant, si jamais tu ne réussis pas … Je te battrais à mort

Mais pour qui il se prend celui la?! Si j'ai bien compris, soit je lui fait des attouchement soit je crève! Je vais le butter! Je le vit alors sortir ses armes et se mettre en position de combat. Je continua de la regarder le plus froidement possible en me relevant doucement de terre et resta droite comme un piquet, je vais le réduire en patté pour chien... Son oiseau viendra manger ses reste! Je lui demanda alors sèchement:

-Je n'ai pas vraiment envie de te toucher, si je me contente de t'égorger ça suffit à prouver ma force?

Je souris aussi sadiquement que lui et passa ma main sous ma robe pour sortir au poignard dissimulé dans ma jarretière. Gardant l'arme le long de mon poignet pour ne pas qu'il la voit. Je me mis aussi en position de combat quand il se mit à dire:

- On gagne une bataille en connaissant le rythme de l'ennemi, et en utilisant un rythme auquel il ne s'attendait pas. Souviens-toi de cette phrase

En plus cet enfoiré se permettait de me donner des conseilles! Je serra les dents et fronça mes sourcils. Je vais vraiment le butter! Il se mit en garde mais je fut surprise en le voyant se débarrasser de ses tonfas. Je grogna en dévoilant mon arme. Je ne me reteint pas de lui crier:

-Récupère tes armes si tu ne veux pas mourir! Je n'ai nul besoin des conseil de quelqu'un de ton espèce sale pervers! Je vais te faire la peau façon Williams tu vas sentir passer ta douleur et tu vas me supplier d'arrêter! Tu vas regretter tes paroles, je n'ai pas peur de toi!

Je tremblais à présent de fureur et attendais qu'il donne l'assaut.

» Rencontre dans l'escalier (Kyoya Hibari)