Pas perdus [ libre ]

" Sept heure quand je me levâme mais je crois bien que la vision du jour éxlaicir mon visage pale et fatigué ne me mettait pas de gaitée de coeur. J'écris une sorte de journal intime que je crois être interressant pour de futures personnes de ma famille. En fait, non, rectification, ce journal n'est pas du tout intime, il est potensiellement lisible pour des personnes interessés de voir mon talent d'artiste, bien qu'il soit loin devant moin ou derriere, les concours de nouvelles, j'ai gagné une fois et je ne m'y tarderait plus. Donc, une journée assez breve sur deux trois trucs à faire, genre des cours, des relevés et une convocation pour la raison justifiée pour laquelle, je suis une des meilleure de ma classe mais je parle jamais. Stupidité icompise par les professeurs qui ne comprenant pas que je n'ai tout simplement aucune envie d'ouvrir ma bouche et répondre en cassant tout espoir de bonne réponse aux autres. Oui, je me fait souvent rabaisé pour ça, on me dit que j'ai tourjours raison et c'est emcombrant dans une vie ou l'erreur est humaine, bien que moi, l'erreur se justifie sur ma façon de vivre, d'être et de penser. Je prouve dans ce texte sans queue ni tête que j'ai un résonnement stupide et bref d'attention mais vocabularisé en mots variants, certaines fois scietifiques ou littéraires, ça dépend du point de vue de chacun ou quelques fois, le langage courant que les jeunes utilisent pour communiquer entre eux et surtout, pour la liberté de montrer leur côté par leur façon de parler bien des fois tellement bête et incompéhensible pour des gens comme moi qui aimont tant la langue que nous a procuré nos chefs d'états français. Pas tous . "

Yua ferma son ordinateur portable et le mit dans sa sacoche. Elle irait surement la porter dans une maison d'édition pour, des sa sortie, s'assurer d'un avenir déja bien portant.
En allant vers le premiere maison d'édition elle ne se rendit même pas compte qu'elle fit tomber ce pauvre ordinateur bien tout neuf pres d'un porte d'un réseau journalier du centre du pensionnat.
En arrivant dans les entrailles de la maison, bien qu'elle ne soit qu'a la reception, Yua se rendit très vite compte que, oh sacrilege, son ordinateur n'était plus dans sa sacorche.
Elle fit tout son chemin arriere et arriva devant cette fameuse porte de ce reseau journalier et entra à l'intérieur.
Je crois que ce fus l'extase de voir des gens s'interresser à son ordinateur posé sur cette petite table. Elle s'y rendit au pas court et rapide et ferma d'un bref coup l'ordinateur.

- Ca ne vous regarde absolument pas!